Le Secrétaire Général du « Parti Pitit Desalin » Jean Charles Moïse réagit sur le scandale de corruption éclaté au sein du Conseil Présidentiel de Transition dans lequel le nom du Représentant de sa structure, Me Emmanuel Vertilaire a été cité. Intervenant le Lundi 29 Juillet 2024, l’ancien Sénateur du Nord prend la défense de son poulain et accorde un délai de 3 jours au Président du Conseil d’Administration de la Banque Nationale de Crédit, Raoul Pierre-Louis de présenter les preuves irréfutables de ses accusations.
LE FACTEUR HAÏTI, le 29 Juillet 2024._Les Dirigeants des partis politiques continuent de réagir aux accusations de corruption proféréés à l’encontre des Représentants de leurs structures au sein du Conseil Présidentiel de Transition.
Après la sortie de la Secrétaire Générale du Parti politique « Les Engagés pour le Développement (EDE), Sterline Civil confirmant sa solidarité au Conseiller-Président Smith Augustin, Représentant de EDE au CPT, c’est le tour de celui de Jean Charles Moïse de renouveller son soutien au sien, à savoir Emmanuel Vertilaire.
Lors de sa participation au Journal « PREMYE OKAZYON » de la radio Caraïbes FM, l’ex-Sénateur du Nord Jean Charles Moïse sort de ses gongs et lance un multimatum au Président du Conseil d’Administration de la Banque Nationale de Crédit (BNC), Raoul Pierre-Louis, qui dit-il, a été manipulé par des politiques du pays.
En fait, il dit accorder un délai de 72 heures à Raoul Pierre-Louis pour présenter des preuves irréfutables autour des accusations proférées à l’encontre des Conseillers-Présidents, notamment son protégé, Emmanuel Vertilaire qui auraient exigé de lui la somme de 100 millions de gourdes pour le maintenir à son poste.
Passé ce délai, le chef de file de Pitit Desalin menace d’intenter une action en justice contre le Président du Conseil d’Administration de la Banque Nationale de Crédit pour diffamation.
Cependant, en dépit de son offensive, Jean Charles Moïse demande à son Représentant au Conseil Présidentiel de Transition, Me Emmanuel Vertilaire de faire ce que dit la loi au cas où l’Unité de Lutte Contre la Corruption (ULCC) voudrait l’auditionner à ce sujet.
LE FACTEUR HAÏTI (LFH)