Le Président du Parti politique connu sous l’appellation de : Alliance pour une Société sans Exclusion (ASE), Cholzer Chancy, dans un document qu’il a signé et rendu public, fixe sa position sur la crise socio-politique, économique et sécuritaire, dans laquelle Haïti s’enlise. L’ancien Député d’Ennery, dans le département de l’Artibonite invite les acteurs à se mettre autour d’un seul table afin d’engager un franc dialogue devant aboutir à un accord politique inclusif pour sortir le pays du chaos.
LE FACTEUR HAÏTI, le 25 Septembre 2022._Haïti s’embourbe dans une crise socio-politique, économique et sécuritaire sans précédent.Les propositions de sortie de crise pleuvent de partout, mais plume ne bouge jusque là. La dernière structure politique à faire la sienne est celle baptisée : « Alliance pour une société sans Exclusion (ASE) ».
Dans un document signé de son Président, Cholzer Chancy, le parti a évoqué l’incapacité du gouvernement en place à satisfaire les revendications du peuple haïtien. Afin d’améliorer les conditions de vie de la population, l’ancien parlementaire appelle à une nouvelle gouvernance dans le pays basée sur la compétence et la capacité des dirigeants.
Pour parvenir à cette, la structure politique, par le biais de son président, dit opter pour la mise en place d’un accord politique inclusif. Lequel accord facilitera la tenue des prochaines élections afin de confier les rênes du pays aux nouveaux élus capables de le mettre sur la voie du développement durable.
Cholzer Chancy, Président du Parti politique Alliance pour une Société Sans Exclusion (ASE) / CP : ASEAussi dit-il, il sera question d’adresser les problèmes de la vie chère, l’insécurité et la crise économique, entre autres, auxquels la population haïtienne fait face.
La proposition du parti Alliance pour une Société Sans Exclusion (ASE) a été formulée dans un contexte de crise où la population haïtienne occupe les rues à travers les différents départements géographiques du pays depuis de cela deux semaines pour continuer de dénoncer l’ajustement des prix des produits pétroliers, la vie chère, l’insécurité ainsi que la démission du Premier Ministre Ariel Henry, entre autres revendications.
LE FACTEUR HAÏTI (LFH)