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Haïti : Fusillade au Centre Sportif de Carrefour, un ancien gardien de but haïtien tué

Une fusillade a été enregistrée dans la soirée du dimanche 21 Juillet 2024, au Centre Sportif de Carrefour, dans le Département de l’Ouest d’Haïti.On parle de morts et de blessés dans des circonstances non encore élucidées. L’ancien gardien de but haïtien, Frantzdy Francillon fait partie des victimes, selon plusieurs sources locales qui se confient à LE FACTEUR HAÏTI.

LE FACTEUR HAÏTI , le 21 Juillet 2024._Du sang a coulé à Carrefour, Commune du Département de l’Ouest, dans la soirée du dimanche 21 Juillet 2024 à la suite d’une fusillade.

Elle a été perpétrée contre des personnes se trouvant au Centre Sportif implanté dans ladite et dirigé par le Chroniqueur Sportif à la Radio Télévision Caraïbe (RTVC), Jacques Hans Vilfort dit « Jako ».

Au cours de la fusillade au moins un mort par balles a été recensé. La personne tuée est identifiée au nom de Pétion Frantzdy Francillon, ancien gardien de but du Don Bosco FC et du Victory SC et entraîneur des gardiens à « Jako Football Passion ».

Haïti : Fusillade au Centre Sportif de Carrefour, un ancien gardien de but haïtien tué

Une vidéo devenue virale après l’action, montre l’ancien footballeur entrain de baigner dans son sang sur le gason du Centre Sportif.

À travers la vidéo, on peut entre la voie d’un homme et celle d’une femme criant « on a assassiné Francillon, notre Francillon , son bras s’est cassé ».

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D’autres personnes touchées par balles et qui sont laissées pour morts ont été également allongées dans le même endroit, peut-on visualiser.Haïti : Fusillade au Centre Sportif de Carrefour, un ancien gardien de but haïtien tué

Depuis plusieurs mois, les Communes de Carrefour et de Gressier, sont dans les viseurs des bandits armés qui veulent étendre leurs terroires dans l’Ouest.

Malgré le déploiement au rabais des policiers kenyans ajouté aux annonces faites par le Premier Ministre Garry Conille et le Directeur Général a.i de la Police Nationale d’Haïti, Rameau Normil, les gangs armés continuent de régner en maîtres en seigneurs dans plusieurs communes de l’Ouest, notamment celles concernées par l’état d’urgence sécuritaire.

LE FACTEUR HAÏTI (LFH)