Le Journaliste James Legenis, rédacteur en chef adjoint à l’agence en Ligne « Haïti Standard » a été victime de menaces de mort de la part d’idividus armés non identifiés. Ces derniers, partant à sa recherche, ont fait irruption dans les locaux de son entreprise baptisée « Passion Tours et Évènement » en date du 21 Août 2024 et l’ont vandalisée. Il a en ce sens, déposé en date du 28 Août 2024, une plainte au Parquet de Port-au-Prince.
LE FACTEUR HAÏTI, le 1er Septembre 2024._Le Journaliste haïtien, James Legenis vit depuis quelques jours avec la peur au ventre suite à des menaces de mort reçues de la part d’idividus non identifiés.
Selon le jeune entrepreneur, chef de file de « Passion Tour et Évènement », également rédacteur en chef adjoint à l’agence de presse en ligne « Haïti Standard » , tout a commencé avec la réception de messages servant de menaces via l’application Whatsapp en provenance de ces individus.
Les messages sont suivis de nombreux appels téléphoniques aux mêmes fins, selon l’ancien journaliste et animateur culturel sur les ondes de la radio Mélodie FM.
Ajouter aux faits susmentionnés, ces mêmes individus qui portent des cagoules, ont pénétré le 21 Août 2024, par infraction dans son entreprise baptisée « Passion Tour et Évènement » pour l’intimider.
Selon ses dires, ce jour-là, ils étaient au nombre de quatre (4) vêtus de couleur noire, circulant à bord d’un véhicule, une SUV de marque Nissan Xterra également de couleur noire sans plaque d’immatriculation.
En colère pour n’avoir pas trouvé leur cible, ils ont saccagé l’espace et intimidé d’autres collaborateurs rencontrés sur les lieux, a rapporté James Legenis , citant les témoignages des occupants de locaux de son entreprise au moment de la demonstration des malfrats.
En quittant les lieux sans être inquiétés, ils ont degainé leurs armes en l’air semant ainsi la peur dans la zone.
En revanche, James Legenis qui se dit inquiet pour sa vie, a déposé le 28 Août dernier, une plainte au Parquet de Port-au-Prince. En dépit de la plainte, il se met depuis lors à couvert.
LE FACTEUR HAÏTI (LFH)