Dans les ténèbres qui assaillent Haïti, une lueur d’espoir semble émerger avec l’installation d’un conseil présidentiel de transition. Alors que les gangs impitoyables dictent leur loi, la population se trouve désemparée et cherche désespérément une issue à cette crise dévastatrice. L’arrivée de ce conseil présidentiel pour plus d’un représenterait une lueur d’espoir au milieu du chaos. Gilbert Cicéron révèle ce qu’il en pense.
LE FACTEUR HAÏTI, le 27 Avril 2024._ L’écrivain Gilbert Cicéron, par le biais de la Fédération des Jeunes pour une Nouvelle Haïti (FJPH), salue cette initiative résultant d’un consensus national . Il exhorte le conseil fraîchement élu à agir avec diligence, appelant à la nomination de l’ancien sénateur Louis Gérald Gilles à sa tête. Reconnaissant le talent de rassembleur de ce dernier , Cicéron est convaincu que Gilles saura mener le pays vers des élections démocratiques dans les plus brefs délais.
Pour sa part, la FJPH ne se contente pas de simples vœux pieux. Elle appelle à une gouvernance transparente, et à mettre en avant la nécessité pour le conseil de revoir la constitution et de s’attaquer au fléau de l’insécurité qui ravage le pays. De plus, elle insiste sur la nécessité d’aider les déplacés forcés par les affrontements entre gangs. Le pays mérite une nouvelle constitution adaptée à ses besoins actuels.
Dans cet élan d’espoir, la FJPH en appelle à la solidarité de tous pour restaurer la paix en Haïti. Elle invite chacun à contribuer à cet effort collectif pour un avenir meilleur.
Se disant nationaliste, Cicéron attire l’attention du conseil sur la situation critique à Fonds-Verrettes et dans la commune de Gauthier. Pour lui, il y a urgence d’intervenir dans ces zones en proie à des problèmes institutionnels graves.
LE FACTEUR HAÏTI (LFH)