Exposition de photos

L’Association des femmes photographes d’Haïti (AFPHA) a organisé le lundi 19 Août 2024, une causerie suivie d’une exposition de photos sur le thème : « bese leve Ayisyen » pour célébrer la journée mondiale de la photographie. Plusieurs étudiantes en photographie, des photographes professionnelles et plus d’une dizaine de femmes y ont pris part pour assister aux interventions des photographes Mondésir Sara Joseph et Raphaël Castera.

LE FACTEUR HAÏTI, le 20 Août 2024._ « Bese leve Ayisyen », c’est sur ce thème que l’Association des femmes photographes d’Haïti (AFPHA) a organisé le lundi 19 Août 2024, au centre culturel Brésil-Haïti, une causerie et une exposition de photos baptisée « AFPHA EXPO 2.0» sur le travail des femmes photographes haïtiennes pour célébrer la journée mondiale de la photographie.

Les photographes, à savoir Mondesir Sara Joseph, présidente de l’AFPHA et Raphaël Castera, Coordonnatrice du programme « kameram chanje vi m», ont été les Intervenantes au cours de cette activité.

Les Intervenantes à l’activité | © Linès Saint-Jean

Dans sa prise de parole, Mondésir Sara Joseph a rappelé aux participantes que l’objectif de l’Association est de rassembler les femmes photographes en Haïti et mettre leurs travaux sous les projecteurs.

Elle a précisé que le thème : « Bese Leve Ayisyen », a été choisi en vue de montrer la résilience du peuple haïtien, notamment les « madan sara », les commerçants (es), les cireurs de bottes, entre autres, malgré les défis quotidiens auxquels ils font face.

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Les participants à la causerie! © Sylvio Michel

Sara Mondésir a profité de l’événement pour annoncer une série de formations sur la photographie, le leadership et l’entrepreneuriat dans les zones réculées de la Capitale, notamment à La Gonave, à l’intention des jeunes filles et femmes.

Exposition de photos

De son coté, Raphaël Castera a partagé ses expériences longues dans la profession avec les participantes à la causerie. D’autre part, elle les a encouragées à travailler avec de l’amour dans la prise des clichés, car les images doivent traduire la réalité.

LE FACTEUR HAÏTI (LFH)