La structure socio-politique baptisée « Alliance Démocratique contre la transition en Haïti (ADECTRAH) exprime ses vives préoccupations face la remontée du climat d’insécurité dont le kidnapping qui sévit dans le pays. Dans une note, le porte- parole de cette entité, Mackenson Cangé invite le Conseil Supérieur de la Police Nationale (CSPN) à assumer ses responsabilités pour garantir la sécurité des gens.
Le Facteur Haïti, le 21 février 2021._Des organisations socio-politiques continuent de fixer leur position sur la situation sécuritaire du pays.C’est le cas de L’Alliance Démocratique contre la transition en Haïti (ADECTRAH).
Dans une note protestation datée du vendredi 19 février 2021, le porte-parole de cette structure, Mackenson Cangé se dit préoccupé par l’aggravation de la situation sécuritaire du pays.
De ce fait, l’homme politique proche du pouvoir en place dit dénoncer la remontée des cas de kidnapping dans le pays, notamment dans la capitale haïtienne.
Face à cette situation, le partisan du régime PHTK demande au chef du Conseil Supérieur de la Police Nationale (CSPN), le premier ministre Joseph Jouthe à prendre des mesures drastiques visant à combattre ce fléau qui appauvrit certaines familles haïtiennes.
Hormis le climat d’insécurité, Mackenson Cangé dit dénoncer aussi la violation des droits fontamentaux de la population, dont le droit à l’éducation, à cause de la fermeture des portes de ces institutions dûe à la crise politique qui ronge le pays.
Tout est dû à une mésinterprétation des textes de loi haïtienne, fustige t-il.En tant qu’institution dirigée par un allié du pouvoir en place, ADECTRAH dit réaffirmer son engagement pour exiger le respect de la loi mère du pays.
Aussi, la structure dit dénoncer les actes de violence dont subit la population haïtienne et prône le dialogue entre les acteurs poliques pour un dénouement de la crise.
Le Facteur Haïti (FH)